Fusion et hybridation catégorielle en syntaxe

Responsable : B. Crysmann.
Participants :  A. Abeille,  B.  Crysmann, C. Donati, , O. Bonami, V. Pan, C. Reintges.

Les grammaires formelles distinguent classes distributionnelles par des catégories syntaxiques inhérentes. Dans les langues naturelles, on peut trouver des cases des catégories hybrides qui partagent des traits des differentes catégories syntaxiques. Cette opération a pour but de mieux comprendre les principes qui rendent possible l'hybridation des catégories en syntaxe et de comparer les différentes analyses proposées pour la décomposition des catégories hybrides. La recherche comprend aussi une comparaison des différentes approches théoriques sur les projections catégoriallement mixtes. 

Les théories monostratiques, comme HPSG, s'appuient sur la description simultanée de la syntaxe et de la sémantique, et représentent la disnction des propriétés inhérentes catégorielles et combinatoires à l'aide de riches descriptions en termes de traits sur les noeuds mêmes. Les apporches transformationnelles, au contraire, cherchent à capturer le status hybride en employant des étiquettes atomiques sur les noeuds et associant les propriétés complexes à des structures arborescentes locales. 

L'opération explorera du point de vue de ces différentes perspectives comment caputurer au mieux le phénomène et à travers la comparaison d'analyses concrètes visera à comprendre si les intuitions fondamentales convergent ou,  au cas contraire,  en quelle mesure les différences d'analyse peuvent porter à une compréhension réelle ou restent de simples produits du modèle théorique soujacent. Comme point de départ nous nous pencherons certainement mais pas exclusivement sur les relatives participiales en grec classique, latin, turc, égyptien ancien et arabe moden standard, et surd'autres catégories nminales en hausa, y cmpris les gérondifs, les adjectifs et les prépositons body part.