Séminaire doctoral SFL-LLF

Description

Le séminaire est conçu comme un espace pour permettre aux doctorant.e.s de présenter leurs travaux, afin d'obtenir des retours dans un contexte convivial et informel, et de favoriser les collaborations avec d'autres doctorant.e.s.

Les présentations peuvent porter sur le projet de recherche (notamment pour les doctorant.e.s nouvellement arrivé.e.s), un aspect des travaux (théorique ou méthodologique), des résultats, un exposé sur un article ou un chapitre, etc.

L'objectif est également de permettre des contacts réguliers entre les doctorant.e.s des deux laboratoires (SFL et LLF).

Agenda

Cette année, le séminaire SFL-LLF a lieu le premier mardi du mois (hors jours feriés et congés), de 16h à 17h30 aux dates indiquées ci-dessous (décembre à juin). Le séminaire se tiendra en présentiel, avec une alternative en hybride.

Lieu

Les séances sont prévues en alternance dans les locaux de SFL (site Pouchet) ou du LLF (Olympe de Gouges) :

  • SFL - 59-61 Rue Pouchet, Paris 75017
    • Venir : M 13 (stations Guy Môquet, Brochant, Porte de Clichy), M 14 (station Porte de Clichy), RER C (station Porte de Clichy), Bus 66 (arrêt La Jonquière), Bus 31 (arrêt Guy Môquet), T 3b (arrêts Épinettes-Pouchet, Honoré de Balzac).
    • Trouver la salle : 154, 159 (premier étage), 255 (deuxième étage).
       
  • LLF - Salle 533, Bâtiment ODG, 8 rue Albert Einstein 75013
    • Venir : M 14, RER C (arrêt BNF), T 3a (Avenue de France), Bus 62 et 89 (Porte de France)
    • Trouver la salle : présentez-vous à l'accueil du Bâtiment Olympe de Gouges, demandez un badge pour pouvoir emprunter l'ascenseur, montez au 5e, puis suivez les fléchages, plutôt bien faits, pour trouver la salle 533 (également appelée Salle des Conseils)

Si vous ne faites pas partie des laboratoires SFL ou LLF mais que vous souhaitez tout de même recevoir les informations relatives au séminaire, veuillez écrire à

.

Pour présenter

Chaque participant.e a 40 minutes au total, avec 20 minutes de présentation au maximum. 20mn sont réservées à la discussion. Chaque séance d'1h30 est donc composée de deux présentations. Les présentations plus courtes avec des questions de méthodologie ou d'interprétation des résultats sont vivement encouragées ! Si vous souhaitez faire une intervention, veuillez nous écrire à

en donnant un bref aperçu de ce dont vous allez parler (5 à 10 lignes).

Il est important de s'assurer que tout le monde puisse suivre le contenu, même sans expertise du sujet. Nous vous invitons à faire précéder votre communication par une introduction des notions et concepts clés de votre travail.

Pour visualiser les dates disponibles, vous pouvez retrouver le programme en cours d'élaboration sur cette page.

Programme (2024)

Venez nombreux ! Ce sera une belle occasion de rencontrer d'autres doctorant.e.s et de connaître les travaux de vos collègues.

  • mardi 2 avril (au LLF)
    • Intervenant.e (LLF) : Yanis da Cunha
    • Titre : A gender bias in syntax: a sentence recall experiment in French
    • Résumé : Some models of sentence production assume that this process is two-step: first, functional processing, where function assignment takes place (subject, object etc), then, positional processing, where word order is set up (Garrett, 1975, 1980).
    • Animacy effects in sentence recall tasks give evidence for this model: when remembering a sentence, participants tend to change animate objects into animate subjects in active/passive alternation (animate-subject preference) but they do not change animate-last to animate-first coordination orders (no animate-first preference), see Branigan et al. (2008); Mcdonald et al. (1993); Tanaka et al. (2011); Thuilier et al. (2021).

    • Given previous evidence for male-first effects in coordination order (Benor & Levy, 2006; Hegarty et al., 2011; Motschenbacher, 2013) and male-subject biases in function assignment (Da Cunha & Abeillé, in prep ; Esaulova & Von Stockhausen, 2015), we are wondering whether social gender exhibits the same effects as animacy in sentence recall tasks.

    • We conducted a sentence recall tasks in French testing the preference for Female-Male or Male-Female orders in symmetrical verbs (Clause level: La reine/Le roi s'est marié avec le roi/la reine vs. Coordination level: Le roi/la reine et la reine/le roi se sont mariés). We show a preference for the Male-Female order at the coordination level but not at the clause level. We take into account participants' gender and noun pair similarity. We discuss our results in comparison with previous experiments on animacy and typicality (Kelly et al., 1986; Onishi et al., 2008).

    • Langue : Anglais / English
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    • Intervenant.e (SFL) : Christelle Gérard
    • Titre : Les avantages d'une exposition à la langue des signes pour des adultes non verbaux avec un TND : microanalyse des interactions filmées
    • Résumé : Sur la base des travaux montrant les bénéfices de l'acquisition de la langue des signes pour les enfants avec TSA et dits "non verbaux" (Kurt, 2011 ; Adam, 2020), nous avons souhaité explorer les apports potentiels de la langue des signes française (LSF) pour les adultes non verbaux avec un trouble du neurodéveloppement (TND) pour lesquels les outils de communication alternative et augmentée (CAA), du type Makaton ou PECS, n'ont pas – ou plus – donné de résultats satisfaisants. L'observation fine des compétences communicatives et linguistiques émergentes, qui sont des signaux faibles chez les personnes avec un TND non verbales, nécessite la mise en place d'un protocole méthodologique. Notre objectif était d'évaluer dans quelle mesure une exposition régulière à la LSF pouvait constituer un apport pour des adultes non verbaux avec un TND. Plus précisément, nous avons cherché à analyser et à caractériser en profondeur ces bénéfices possibles en termes de développement des compétences communicatives et linguistiques. Nous élaborons un schéma d'annotation axé sur plusieurs points clés : les aspects linguistiques, l'interaction et les aspects didactiques. Nous voulons déterminer la nature des interactions observées et filmées entre ces adultes et leurs interlocuteurs. Nos premières analyses nous ont permis d'identifier plusieurs variables importantes, mais aussi des aspects du comportement qui restent difficiles à caractériser et que nous allons présenter.
    • Langue : à venir

Attention, la séance du 7 mai est repoussée au 14 mai, en raison des nombreux jours feriés début mai.

  • mardi 14 mai (à SFL, salle 159)
    • Intervenant.e (LLF)
    • Titre : à venir
    • Résumé : à venir
    • Langue : à venir
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    • Intervenant.e (SFL) :
    • Titre : à venir
    • Résumé : à venir
    • Langue : Français
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  • mardi 11 juin (au LLF)
    • Intervenant.e (LLF)
    • Titre : à venir
    • Résumé : à venir
    • Langue : à venir
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    • Intervenant.e (SFL)
    • Titre : à venir
    • Résumé : à venir
    • Langue : à venir

Archives des séances (2023-2024)

  • mardi 5 mars (à SFL, salle 255)
    • Intervenant.e (LLF) : Marie Legentil
    • Titre : Perspective et réflexions sur l'aspect imperfectif en rembarrnga
    • Résumé : Le rembarrnga est une langue aborigène du nord de l'Australie, possédant une morphologie verbale d'une grande complexité. Peu décrite (McKay 1975 ; Saulwick 2003), certains aspects de son système Temps, Aspect, Mode, reste à ce jour très opaque. La présentation s'intéressera à faire un état de l'art et discuter de ce qui a été dit concernant l'expression de l'aspect, en se focalisant sur l'aspect imperfectif, en contrastant avec de nouveaux questionnements émergents des données de terrain les plus récentes.
    • Langue : Français/French (Interprétation LSF)
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    • Intervenant.e (SFL) : Adrien Dadone
    • Titre : Une étude contrastive de la complexité linguistique : le cas de la relative en français et en LSF
    • Résumé : Les propositions relatives sont les subordonnées les plus courantes en français et couvrent un vaste répertoire discursif, notamment en raison de leurs valeurs sémantiques, qui peuvent être restrictives ou non restrictives. À ce jour, peu de travaux ont été menés pour identifier les équivalents fonctionnels des relatives en Langue des Signes Française (LSF). C'est l'objectif que nous nous sommes appliqués à atteindre dans le cadre de notre travail de thèse. Les questions qui ont guidé notre recherche ont été les suivantes : la LSF dispose-t-elle de différentes stratégies pour exprimer les différentes valeurs sémantiques de la relative française (par exemple restrictive et non restrictive) ? Si oui, quelles formes prennent ces expressions ? Et, plus globalement, comment la complexité syntaxique est-elle exprimée en LSF ? Pour ce faire, nous nous sommes appuyés sur un corpus de données naturelles en LSF et en français écrit. En accord avec une approche fonctionnelle qui souligne l'importance des intentions de communication dans l'organisation des formes linguistiques, notre étude a envisagé conjointement les relations entre structures, fonctions et contexte.
    • Langue : LSF (Interprétation en français)
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  • mardi 5 décembre (au LLF, salle 533)
    • Intervenant.e (LLF) : Anna Mosolova
    • Titre : Injecting dictionary knowledge into word vector representations
    • Résumé : The issue of word vector representations (embeddings) has a rich history in natural language processing. In the previous decade, static embeddings were omnipresent in computational linguistics. However, they had a significant drawback, namely, there was only one vector representation per lemma which posed challenges for tasks involving polysemous words. In 2019, new language models were introduced which could generate new word representation for each context. In theory, this appeared to be a solution to the polysemy issue. However, in practice, the model's representations of the words with the same meaning seemed to vary considerably depending on the context. In my presentation, I will demonstrate my approach to addressing this issue by training the language model on the examples sharing the same meaning in order to make representations of words with the same sense closer in the vector space. 
    • Langue : English / Anglais
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    • Intervenant.e (SFL) : Sarah Michel
    • Titre : Facteurs influençant la lisibilité du point médian
    • Résumé : L’usage de l’écriture inclusive, et plus précisément du point médian est débattu car il alourdirait la lecture. Si la lecture des formes inclusives semble ralentir la lecture, plusieurs facteurs influencent la lisibilité. Tout d’abord, le facteur morphologique, à savoir la différence entre les formes utilisées et dites « additives » (étudiant·e·s, soldat·e·s) ou « substitutives » (traducteur·rice·s, chercheur·euse·s). Ensuite, le facteur lié aux attitudes envers l’écriture inclusives telles que les avis ou la fréquence d’exposition à ces formes. Enfin, le facteur portant sur les troubles de la lecture tels que la dyslexie. Je vais présenter les résultats de quatre expériences de lecture afin de répondre aux questions suivantes :
      1) Est-ce que le point médian ralentit la lecture ?
      2) Existe-t-il une différence entre les formes additives (étudiant·e·s, soldat·e·s, mécanicien·ne·s) ou substitutives (traducteur·rice·s, chercheur·euse) ?
      3) Est-ce que les avis et la fréquence d’exposition à l’écriture inclusive influencent la lisibilité du point médian ?
      Ces expériences de lecture ont été réalisées avec différentes méthodes : l’enregistrement des mouvements oculaires (expériences 1, 2 et 4) et lecture en auto-présentation segmentée (expérience 3).
    • Langue : French / Français
  • mercredi 17 janvier (à SFL, salle 124)
    • Intervenant.e (LLF) : Alexander Sergienko
    • Titre : Alignment shift in Bartangi: parameterizing ergativity
    • Résumé : This talk explores morphosyntactic alignment in Bartangi, an Eastern Iranian language. Earlier sources show tripartite alignment in the past tense, however my field data show the shift to full nominative-accusative alignment. As this development is reasonably common among Iranian languages, it is needed to develop a theory of ergative case which easily derives this shift. These talk explores several prominent approaches to ergative case assignment: DCT (Marantz 1991), (Baker 2015), ergative-as-inherent (Woolford 2006) and my own lexicon-driven approach.
    • Langue : English/Anglais
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    • Intervenant.e (SFL) : Mauro Viganò
    • Titre : Italian adaptation of the Treatment of Underlying Forms for object relative sentences: effectiveness and generalization patterns
    • Résumé : The Treatment of Underlying Forms (TUF) is a linguistic approach for the rehabilitation of sentence deficits in agrammatic aphasia. It was developed in English for different types of sentences characterised by a syntactic movement and it was proven to be effective, with a specific generalization pattern – defined as Complexity Account of Treatment Efficacy (CATE) – from trained complex sentences to untrained simpler sentences characterised by the same type of syntactic movement. In this study, we developed an Italian adaptation of the TUF for object relative sentences and we used a single-subject multiple baseline design with 5 participants with agrammatic aphasia in chronic phase to test improvement in production and comprehension. For the assessment we considered trained and untrained object relatives as target structure, object cleft sentences as structurally related control structure, passive and active sentences as unrelated control structures. The findings show an overall improvement in both production and comprehension across participants and structures and in the standard tests. This improvement seems relatively stable at the follow-up assessment. No change was detected during the baseline assessment and the control period with no treatment. Differently from the previous study in English, we found a relevant improvement in comprehension and, notably, almost no differences in the improvement between structurally related and unrelated control structures, providing a possible challenge for the CATE. In the talk, I will discuss our findings in the light of the cross linguistic differences between English and Italian that could explain the unexpected results and we will outline observations for the clinical application of the TUF in Italian.
    • Langue : Anglais / English
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  • mardi 6 février (au LLF)
    • Intervenant.e (LLF) : Zhanglin Xie
    • Titre : Does crosslinguistic difference in redundant adjective production depend on word order?
    • Résumé : When identifying objects with distinct colors and shapes, people often use color modifiers not necessary for object identification (Rubio-Fernandez, 2016,2019), contrary to Gricean principles (Grice, Cole, & Morgan, 1975). Previous studies show that word order seems to influence redundant adjective production across languages (Jara-Ettinger & Rubio-Fernandez, 2022; Kachakeche, Futrell, & Scontras, 2021; Rubio-Fernandez, 2016; Rubio-Fernandez, Mollica, & Jara-Ettinger, 2021; Waldon & Degen 2021; Wu & Gibson, 2021). For example, English speakers produce more redundant color adjectives than Spanish speakers and one possible explanation is that since color adjectives are prenominal in English but postnominal in Spanish. We aim to investigate whether the word order effect predicting redundant color adjective and number adjective production extends to other languages such as Chinese and French, given that color words are prenominal in English/Mandarin but postnominal in Spanish/French, while number words are prenominal in all four languages. By replicating Wu and Gibson (2021)’s experiment, we looked at the redundant adjective production depending on the language (Chinese/English vs. French/Spanish) and modifier type (color vs. number). The experiment involved English (N = 50), Mandarin Chinese (N = 51), Spanish (N = 49), and French speakers (N = 50) of similar age and education, with unexpected findings challenging the anticipated impact of word order on redundant color adjective production. Firstly, the model shows Chinese speakers are significantly less redundant than other speakers. Secondly, we found that redundant number modifiers were significantly more prevalent than color modifiers. Therefore, our current results did not support the word order hypothesis (incremental efficiency hypotehsis). Alternatively, we proposed that the adjective frequency could explain this crosslinguistic production pattern for redundant adjectives and a corpus study from Universal Dependencies corpora confirmed this hypothesis. 
    • Langue : Anglais / English
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    • Intervenant.e (SFL) : Alireza Jaferian
    • Titre : Consonant clusters in Farsi, a representational approach
    • Résumé :  In my PhD dissertation, I deal with Persian phonology, mainly focusing on syllable structure and consonant clusters in Farsi, the modern Iranian variety. The empirical basis is a written lexical corpus of about 32000 words. On the theoretical side, I use the CVCV model, developed in the broader framework of Government Phonology. In this talk, I will show that given a language-specific parameter setting, the distribution of consonant clusters in Farsi follows from CVCV representations.
    • Langue : Anglais / English

Archives des séances (2021-2022)

  • 13 juin (en présentiel/in person!)
    • Ruihua Mao (LLF)
    • Titre : Extraction out of Mandarin and English if-adjunct clauses: the role of topicalization
    • Résumé : Constraints on long-distance dependencies have been crucial for linguistic theory, and competing theories have been proposed to account for their (un)acceptability. The “generative” approach argues that “island” constraints on long-distance dependencies are syntactic in nature and generalize across languages and across constructions (Huang, 1982; Chomsky, 1986). The processing approach claims processing factors such as frequency and working memory load are at work (Klunder, 1991; Hofmeister & Sag, 2010; Liu et al., 2022). The discourse approach assumes that semantic and discourse factors play a role. Inspired by the “Backgrounded Constructions are Island” constraint introduced by Goldberg (2013), Abeillé et al (2020) propose that the discourse function of the construction is at work: the infelicity to extract an element out of a backgrounded constituent is worse when the extracted element is focalized.
      We conducted contextualized acceptability judgment experiments on IBEX, manipulating (1) Extraction (±extraction) and If-position (initial vs. final); (2) Extraction (± extraction) and Clause type (that-clause vs. if-clause) in English and Mandarin respectively.
    • Langue : anglais/English
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    • Gavris Daniel (SFL)
    • Titre : Neurocognition du langage : traitement neurocognitif des structures morphosyntaxiques complexes en français. Le cas du subjonctif français : résultats ERP
    • Résumé : Les structures complexes ont un grain d’intérêt majeur dans le domaine de la neurocognition dans ces dernières décennies. La complexité a été considérée définie différemment selon la complexité linguistique que les chercheurs veulent étudier (Friederici, 2006 ; Just and others 1996; Stromswold and others 1996; Caplan and others 1998, 1999; Röder and others 2002; Ben-Shachar and others 2004; Bornkessel and others 2005). La plupart d’entre eux sont d’accord pour la définir sur la base des relations qui existent au sein d’un système et les propriétés émergentes que ces relations permettent (Bulté & Housen, 2012 ; Heylighen, 2007). Le subjonctif français peut être considéré alors comme une complexité morphosyntaxique. Il a fait l’objet d’au moins 37 théories linguistiques toutes obéissances confondues dont l’objectif a été d’expliquer son emploi en français. Toutefois, il n’est pas encore clair quelle est la place occupée par la syntaxe, d’une part, et par la sémantique, de l’autre dans le processus de traitement du subjonctif français. À aujourd’hui, il n’existe pas d’étude qui étudie le fonctionnement du subjonctif avec l’approche neurocognitive. C’est pourquoi nous avons investigué le traitement neuronal du subjonctif par des francophones natifs en utilisant la technique de l’électroencéphalographie (EEG). La recherche a eu comme objectif de préciser les marqueurs neurocognitifs (N400, P600, LAN, ELAN) impliqués lors du traitement du subjonctif pour expliquer, par la suite, la composante linguistique responsable (syntaxe ou sémantique) de la structure de ce mode en français. Nos résultats pourront ensuite trouver leur utilité dans le domaine des neurosciences, notamment dans le cas des personnes atteintes de maladies neurodégénératives qui ont des difficultés pour la production de telles structures morphosyntaxiques complexes (Marin et al., 1983).
    • Langue : français/French
  • 23 mai (en présentiel/in person!)
    • Peijia Su (LLF)
    • Titre : Head noun reconstruction effects in Chinese: Condition C or cataphora ?
    • Résumé : The results of our previous experiment showed that in relative clauses (RC) in Chinese, the coreferentiality between a pronoun within the RC and a proper noun within the head NP yields degraded acceptability ratings, as in *Tai xihuan tk DE [Lucyi DE ge]k ((Lit.) the song of Lucyi that shei likes), which suggests hinese exhibits reconstructions effects of the head NP via Condition C violation in RCs. However, this unacceptability of coreference could in principle be due to a confound: the well-known cataphora dispreference in Mandarin Chinese. Thus, we prepared a control experiment aiming at verifying whether Condition C reconstruction effects really exist in RCs in Chinese. The experiment tested whether the coreference is much less acceptable in a structure with both cataphora and Condition C violation than in one with only cataphora, given the context that force a coreferential reading.
    • Langue : anglais/English
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    • Guangzhao LI (SFL)
    • Titre : Structure informationnelle et acquisition de la référence aux entités en chinois L2 : évolution des variétés d’apprenants adultes francophones
    • Résumé : Le sujet de recherche de cette thèse est l’itinéraire acquisitionnel de la structure informationnelle (SI) en chinois L2 par des apprenants adultes francophones. La SI concerne la façon dont l’information est organisée dans le discours qui reflète les divers besoins communicatifs. Elle affecte fortement la manière dont les locuteurs se réfèrent aux entités impliquées dans un événement, et influence leurs choix des moyens linguistiques, tels que des marquages morphosyntaxiques ou prosodiques. Notre recherche se focalise sur l’acquisition de la référence aux entités, et nous aborderons l’introduction, le maintien, le changement et le contraste des entités dans le discours. Nous visons à étudier la complexification du lecte d’apprenant, du niveau débutant jusqu’au niveau avancé. Autrement dit, nous nous intéressons aux choix des moyens formels pour effectuer les fonctions textuelles du mouvement référentiel. Les dispositifs linguistiques comprennent du marquage local (morphologie nominale) et du marquage global (ordre de mots). La façon dont le locuteur transmet l’information reflète ses calculs sur des connaissances supposées de son interlocuteur : il choisit ainsi l’expression linguistique adéquate de faire référence à l’entité pour que son interlocuteur puisse à son tour l’identifier. Le choix d’une expression référentielle dépend donc du degré auquel un référent peut être présupposé dans un contexte donné (hiérarchie d’accessibilité). Les principes d’organisation informationnelle varient d’une langue à l’autre, la difficulté de l’acquisition de la SI empêche la maîtrise totale de la langue cible. En analysant l’itinéraire acquisitionnel de la référence aux entités par les apprenants francophones du chinois L2, notre travail essaie d’étudier 1) les différences interlinguistiques entre les discours des locuteurs natifs du français et du chinois, 2) l’ordre d’acquisition des moyens linguistiques par l’apprenant, 3) l’évolution des correspondances forme-fonction en fonction du niveau de l’apprenant et 4) les perspectives choisies par l’apprenant sous l’influence translinguistique de la L1.
    • Langue : français/French
  • 25 avril 
    • Béatrice Pahontu (LLF)
    • Titre : Le marquage perfectif/imperfectif et l’avertivité en roumain. Une étude expérimentale de la périphrase a fi pe cale ‘ être en voie de’.
    • Résumé : Dans cette présentation, je discuterai la catégorie sémantique de l’avertivité en roumain. L’avertivité est une catégorie encore méconnue dans beaucoup de langues, désignant un événement qui n’est pas parvenu à son terme, cf. faillir + inf. en français. La description des marqueurs avertifs a connu un grand intérêt ces dernières années, y compris au sein des langues romanes. Cependant, les langues ibéro-romanes et l’italien ont été mieux décrites, alors que les marqueurs avertifs du roumain restent encore très peu documentés. L’objectif de cette communication est de contribuer à la description de l’avertivité en roumain, et cela à travers l’étude de la périphrase a fi pe cale.
    • J’ai conçu une étude expérimentale (Yes-No Task) comportant 30 items, dans des phrases mono-clausales : 10 items de sens négatif (a se prăbuși ‘s’écraser’), 10 items de sens neutre (a intra ‘entrer’) et 10 items de sens positif (a câștiga ‘vaincre’). Chaque item a deux conditions (imperfectif vs. perfectif), comme illustré en (1), et il est suivi par une question avec deux réponses: Oui, si l’événement a eu lieu ; Non, si l’événement n’est pas parvenu à son terme. Le choix des verbes d’achèvement et de la 3e personne singulier est motivé par les tendances observées sur corpus. L’analyse est basée sur les réponses de 62 locuteurs natifs du roumain.
    • (1) Un avion {era_imp / a fost_perf pe cale} să se prăbușească din cauza condițiilor meteo.
    • ‘Un avion a failli s’écraser à cause des conditions météorologiques.’

      Résultats : (i) L’emploi avertif de la périphrase est conventionnel à la fois avec le marquage perfectif et imperfectif, et diffère de ses contreparties dans les autres langues romanes.

    • (ii) La périphrase avertive n’est pas sensible au sens lexical du verbe avec lequel elle s’associe.
    • Langue : français
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    • Mideline Dragon (SFL)
    • Titre : Typologie des constructions de degré : cas du créole haïtien et du luganda
    • Résumé : Dans la littérature, l’anglais est considéré comme une langue à degré car on y trouve ces différentes constructions de degré, avec un adjectif comme prédicat gradable : question de degré, phrase de mesure, équatif, comparatif de supériorité, superlatif, comparatif différentiel, subcomparatif.

      Suivant la classification de Stassen (1985, 2013) l’anglais est une langue à particle comparative avec son marqueur de paramètre than (1) tandis que le créole haïtien (CH) est une langue à exceed comparative avec son marqueur de paramètre pase (2) ainsi que le luganda avec son verbe singa (3).
      (1) Sally is taller than Joe. (Beck & al., 2004 : 296, ex19)

    • (2) Ou te di mwen pi dous pase mango
      2SG ANT dire 1SG MC ADJ MS mangue
      ‘Tu avais dit que je suis plus doux qu’une mangue’ (Triomec’s, Pou ki)

      (3) a. Kizito asinga Kato obukulu
                  Kizito a-singa Kato o-bu-kulu
                  Kizito NC1-exceed Kato AUG-NC14-old
                  ‘Litt : ‘Kizito exceeds Kato in oldness’
                  ‘Kizito is older than Kato’

    •        b. Kizito mukulu okusinga Kato
                  Kizito mu-kulu o-ku-singa Kato
      Kizito NC1-old AUG-NC15-exceed Kato
                  ‘Litt : Kizito is old exceeding Kato’
                  ‘Kizito is older than Kato.’ (Bochnak 2013 : 116, ex 182-183)

      Dans cette présentation nous voulons, premièrement voir si le CH et le luganda sont des langues à degré comme l’anglais en nous appuyant sur les paramètres établis par Beck & al. (2004, 2009) et deuxièmement, nous voulons analyser leurs marqueurs afin de faire ressortir leur similarité et leur différence étant des langues faisant partie d’une même catégorie, en nous basant sur les travaux de Bochnak (2013), Cabrédo (2020).

    • Langue : français
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  • 21 mars 
    • Zhanglin Xie (LLF)
    • La surgénéralisation intralinguale dans l'acquisition de la position de l’adjectif épithète en FLE : une approche expérimentale.
    • Résumé : La description de la position de l’adjectif épithète en français et son explication en termes théoriques ont déjà été source de nombreux débats. La question de l’acquisition de cette propriété en français L2/L3 est en revanche une question récente. Elle a donné lieu à un petit nombre de travaux, et il est communément admis que les apprenants du français L2/L3 rencontrent des difficultés dans l’acquisition de cette propriété. Les résultats provenant de mon mémoire M2 démontrent que les apprenants sinophones se trompent souvent dans le placement des adjectifs antéposés non-fréquents (eg. *un danseur piètre, *un menteur fieffé etc...), ce qui pourrait s’expliquer par une surgénéralisation de la règle - le placement postnominal par défaut. En conséquence, nous souhaitons examiner si les apprenants de FLE généralisent également cette règle dans leur choix du placement de l'adjectif. Pour ce faire, nous monterons une expérience psycholinguistique auprès des apprenants ayant différentes langues maternelles en analysant leur maîtrise du placement des trois types d'adjectifs distingués - les adjectifs généralement antéposés (eg. piètre), les adjectifs généralement postposés (eg. suave), ainsi que les adjectifs généralement alternants (eg. immense). Nous nous attendons à observer une préférence générale pour la postposition dans les productions des apprenants de FLE. Plus spécifiquement, nous supposons que
    • - les sujets placeraient correctement les adjectifs généralement postposés après le nom.
    • - les sujets placeraient incorrectement certains adjectifs généralement antéposés après le nom, en particulier, ceux qui sont moins fréquents.
    • - les sujets auraient tendance à placer les adjectifs alternants après le nom lorsque le contexte favorisant le choix d'une position par rapport à l'autre n'est pas fourni.
    • Langue : français
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  • 21 février 
    • Suzanne Lesage (LLF)
    • Redéfinir les proformes réfléchies : une approche paradigmatique.
    • Résumé : Dans cette présentation, je vais tenter de situer les formes réfléchies, antiréfléchies, neutres et emphatiques les unes par rapport aux autres. Pour ce faire,  je vais présenter deux définitions qui ont la particularité d’être à la fois paradigmatiques et non catégoriques. Au vu de données que je présenterai brièvement, il semble vain, pour ne pas dire impossible, de définir ce qu’est un réfléchi sans prendre en compte sa contrepartie antiréfléchie. Il paraît donc fondamental que cette opposition paradigmatique structure mon approche. Il semble également illusoire de se reposer sur des distributions complémentaires strictes, qui amènent à écarter de notre attention un grand nombre de cas intéressants. En conséquence, mes définitions seront intrinsèquement quantitatives, contrairement aux définitions traditionnelles, et pour la seconde il faudra recourir à des argument empiriques basés sur l’observation quantitative telle que le permettent les expériences psycholinguistiques ou les études de corpus pour établir le statut de réfléchi d’une forme. 
    • Langue : français
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    • Adrien Dadone (SFL)
    • Les subordonnées relatives en « que » et « qui » : analyse d’un point de résistance dans l’accès à la littératie d’adultes sourds locuteurs de la langue des signes française (LSF) langue 1 et proposition didactique de remédiation.
    • Résumé : Il est maintenant largement admis que de nombreux sourds rencontrent des difficultés à accéder pleinement à l’écrit. En revanche, les raisons de ces difficultés et les outils didactiques pour y remédier font encore l’objet d’intenses réflexions. Parmi ces difficultés, on retrouve l’usage de la subordonnée relative, point de résistance déjà identifié dans la littérature anglophone et que j’ai pu repérer dans ma pratique de formateur de français L2 à des adultes sourds ayant la LSF en comme langue principale. L’objet de ma recherche sera d’investiguer ce point de résistance pour le contexte français en nous concentrant sur les relatives les plus courantes en français, celles introduites par les pronoms « que » et « qui », en vue formuler par la suite des préconisations didactiques. Comme première hypothèse, nous soutenons l’idée que les sourds manquent de connaissances métalinguistiques, que ce soit pour leur L1 ou leur L2, ceci expliquant en partie les difficultés d’apprentissage de la relative. Notre seconde hypothèse, liée à la première, concerne le canal et donc les modes d’expression respectifs de la LSF et du français : le passage d’une langue exploitant massivement la simultanéité (multilinéarité) à une langue contrainte à la linéarité freinerait la maîtrise des phrases à relative dont l’expression est linéaire. Si ces hypothèses sont vérifiées, elles révèleraient des voies d’accès à l’écrit spécifiques aux sourds et qu’à ce titre une didactique de l’écrit tenant compte de ces spécificités est à mettre en œuvre. 
    • Langue : LSF (avec interprétariat LSF-français)
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  • 17 janvier 
    • Dorotea Bevivino (LLF)
    • A cross-linguistic and acquisitional perspective on prosodic priming
    • Résumé : In the last decades, research in different areas has pointed more and more at the key role played by prosody in language processing. However, some questions remain open. First and foremost, what drives this facilitating effect, i.e. what are the specific prosodic cue(s) responsible for it? Secondly, are there specific kinds of prosodic cue(s) that different languages highlight and rely on, and which one(s) are they? Lastly, how and when do we acquire and manage these mechanisms? To answer some of these questions, the idea of this project is to look at the specific role of prosody on syntax, and specifically on syntactic ambiguity resolution, from a cross-linguistic and acquisitional perspective. The prosodic priming paradigm will be used to isolate and test specific prosodic cues responsible for syntactic ambiguity resolution. In this talk, I will present the background and design of a first experimental study to test the generalizability of the prosodic priming paradigm in production in both English and French.
    • Langue : anglais
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    • Bianca de Paolis (SFL)
    • Interaction entre prosodie, syntaxe et structure informationnelle au passage de la L1 à la L2: une étude sur l'italien et le français.
    • Résumé : Ma recherche consiste en une analyse de l’interaction entre prosodie, syntaxe et structure informationnelle des énoncés dans le processus d’acquisition d’une langue seconde, en particulier dans le cas de deux langues romanes : la langue française et la langue italienne. L’enquête vise à explorer les stratégies de caractérisation prosodique et syntaxique mises en œuvre par les locuteurs des deux langues natives pour exprimer la structure informationnelle de l’énoncé, et les remodulations que ces stratégies subissent dans le processus d’acquisition de la L2. Afin d’analyser ces aspects, je suis en train de bâtir un corpus de données orales élicitées en contexte expérimental, et de mettre à point un système de codage efficace pour l’annotation de tous les facteurs qui sont susceptibles de jouer un rôle dans la structuration du discours des apprenants.
    • Langue : français
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  • 6 décembre 
    • Zifeng Liu (LLF)
    • Perceptual bias for segmental and tonal speech errors
    • Résumé : Studies of speech errors on tone have demonstrated that tonal speech errors are less frequent than segmental speech errors. This difference has been consistently observed in different tone languages (Cantonese, Mandarin, Thai). However, these studies are all based on transcribed data collection, a method that has been questioned for its perceptual and/or experimental bias. In particular, transcribing speech errors of a tone language might be a much more complex task for our perceptual system since transcribers are asked to pay attention to two types of errors, tone and segment, simultaneously. Therefore, tonal errors are probably neglected during the transcription task. The aim of the present project is to investigate this potential bias through a series of production and perception experiments. In this presentation, I will introduce first the protocol of a reading task and a simultaneously hearing-speaking task, which are aimed to elicit speech errors. Thereafter, I will introduce a transcription task designed to compare subjects’ performances on transcribing different types of speech errors. 
    • Langue : anglais
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    • Lesley Páramo (SFL)
    • Intégration de la L3 dans le lexique mental plurilingue par une approche didactique bilingue ou trilingue
    • Résumé : Ce projet a pour objectif d’examiner l’intégration d’une nouvelle langue (L3) dans le lexique mental plurilingue. Nous adoptons des modèles d’acquisition lexicale selon lesquels les items lexicaux s’intègrent au lexique en s’attachant aux représentations lexicales déjà établies. Nous prenons comme population cible des bilingues (simultanés : anglais et français 2L1, et séquentiels : anglais L1 et français L2) qui apprennent l’espagnol L3 en contexte scolaire bilingue (anglais-français). Pendant une phase d’acquisition, ils apprendront 40 nouveaux mots en espagnol. Ensuite, des tests de vocabulaire ainsi que le paradigme de la reconnaissance en traduction seront employés afin de répondre aux questions suivantes. Premièrement, quelle approche didactique facilite le plus l’acquisition du vocabulaire en L3 (AL3) : une approche trilingue (L3 en relation avec L1 et L2) ou bilingue (L3 en relation avec L1 ou L2) ? Deuxièmement, quelle approche bilingue (L1 ou L2) facilite le plus l’AL3? Finalement, quelle langue (L1/L2) sert de locus d’intégration privilégié pour l’AL3 en approche trilingue? Nous postulons que la sélection de la L1 ou de la L2 comme locus d’intégration dépend de différents facteurs qui influencent l’activation relative de ces langues, et donc leur participation à l’AL3.
    • Langue : français
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  • 15 novembre 
    • Cécile Larralde (LLF)
    • What can discourse connectives teach us about the processing of non-truth-conditional meaning?
    • Résumé : A sentence containing two conjuncts combined with but, so or and is true if both of the conjuncts are true. However, but and so, unlike and, contribute to the non-truth-conditional meaning of the sentence by imposing the computation of a pragmatic inference of, respectively, contrast and causality. This property of non-truth-conditional discourse connectives to lexically encode pragmatic meaning has made them a popular subject of theoretical and empirical studies aiming to characterize their meaning and their integration to discourse. Little is known however about their exact inferential profile in isolation of the entertainment of other pragmatic inferences relying on world knowledge or extensive contextual assessment. Improving our understanding of the processing of non-truth-conditional discourse connectives would contribute to characterize general pragmatic processes. My PhD journey will be concerned with establishing a clearer picture of the inferential profile of non-truth-conditional discourse connectives. In this talk I will share reaction time study constituting the first step of my doctoral research.
    • Langue : anglais
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    • Mauro Vigano (SFL)
    • Interpreting agrammatism in the light of generative syntax frameworks
    • Résumé : The term “aphasia” refers to a cluster of acquired language disorders following brain lesions. The clinical features of aphasia are heterogeneous: the level of language processing impaired and its severity are related to the location and the extent of the brain lesions. Agrammatism is a possible feature of aphasia and is defined by the production of short and simplified sentences with morphemes omissions and deficits in the comprehension of complex sentences. In order to interpret the mechanisms underlying agrammatism, several hypotheses have been proposed. The aim of the project is to investigate different accounts of agrammatism, analysing the comprehension and the production performances of Italian-speaking and French-speaking subjects with aphasia. The notion of sentence complexity will be explored considering the characteristics of the syntactic structure (multiple projections in the syntactic tree, presence of syntactic movement), the canonicity of the constituents’ order, the semantic features of the lexical items and the computational load (in terms of number of phrases/morphemes/phonemes). The study will contribute to a better understanding of agrammatism both from a theoretical and a clinical point of view, providing cross-linguistic evidence for testing different interpretative hypotheses.
    • Langue : français

Archives des séances (2020-2021)

  • 3 novembre 
    • Yanis Da Cunha et Suzanne Lesage 
    • Contraintes sur l’usage du possessif emphatique du français son propre : une étude de corpus.
    • Anne Vanbrugghe
    • Apprentissage de la lecture-écriture, un objet complexe, l’exemple des sourds, à travers les discours scientifiques.
    • Clément Kamissoko 
    • La pluralité des approches didactiques dans l'enseignement-apprentissage du français au Mali : enjeux et perspectives.
  • 1er décembre
    • Angélique Jaber 
    • S’exprimer dans deux langues simultanément : classification des énoncés bilingues Français-LSF
    • Alireza Jaferian
    • Questions de phonologie persane : structure phonématique, processus phonologiques, stratégie d'adaptation des emprunts.
    • Anne Caline
    • Accent et genre des termes d'origine bantu et yoruba en portugais (Brésil).
  • 26 janvier
    • Timothée Prémat
    • Cartes et graphiques, quelques pistes de représentation de données linguistiques en utilisant R
  • 23 février
    • Daniel Gavris
    • Étude neurocognitive du traitement et de la production de structures morphosyntaxiques complexes chez des locuteurs francophones et des apprenants avancés de L1 typologiquement éloignées.
    • Maria Copot
    • Prédictibilité et fréquence : approche expérimentale et computationnelle pour comprendre leur rôle dans le lexique mental.
  • 30 mars
    • Sophie Wauquier
    • Comment écrire une thèse
  • 20 avril
    • Abdelaaziz Boussayer
    • NP-internal agreement : adjectival modification in Amazigh
    • Peijia Su
    • Structures non canoniques de modification phrastique du nom : relatives sans gap en chinois
    • Vincent Surrel
    • Élaboration philologique et analyse linguistique d'un corpus nord-occitan : pour un bilan provisoire
  • 25 mai
    • Tatiana Kiseleva
    • L'acquisition de l'article français par des apprenants russophones L2+ en contexte universitaire en Russie
    • Beatrice Pahontu
    • Étude des emplois aspectuels du roumain a fi pe cale ‘être en voie de’. Une approche de corpus.
  • 29 juin