Membre associé
Statut : ENS Lyon
Adresse :
LLF, CNRS – UMR 7110
Université Paris Diderot-Paris 7
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E-mail : wnpdhrf.wnlrm@raf-ylba.se
J'ai travaillé à L'EHESS et suis depuis 2001 à l'ENS de Lyon. Au départ, mon domaine de recherche était la sémantique formelle mais je suis de plus concerné par les approches expérimentales. J'ai rejoint en 2007 le laboratoire L2C2.
Les principaux champs empiriques sur lesquels j’ai travaillé sont énumérés ci-dessous :
Les deux sources principales des outils formels que j’ai utilisés sont la « sémantique dynamique » et la « logique modale ». En résumé, la sémantique dynamique est une partie de la sémantique formelle qui traite de la modification de l’information, par exemple des mises à jour (on ajoute de l’information) ou des révisions (on modifie ses croyances). La logique modale s’occupe de l’interprétation des opérateurs modaux, tels que la possibilité ou la nécessité. Elle n’est pas restreinte à ces deux derniers et s’occupe aussi de la représentation des attitudes épistémiques (ou doxastiques), volitives et émotionnelles (croyance, désir, espoir, etc.).
On peut trouver une présentation de la sémantique formelle dans un certain nombre de manuels, tels que Chierchia & Mc Connell-Ginet 1990, Cann 1994, Heim & Kratzer 1998, de Swart 1998, Carpenter 1998, Chambreuil et al. 1998, qui exposent les thèmes classique : la vériconditionnalité, la compositionnalité, le typage et le dynamisme, etc.
Tous ces manuels, par nécessité, sont plutôt généraux et ne peuvent pas toujours donner une idée détaillée de la complexité et de la diversité de la sémantique formelle.
Un manuel intéressant parce qu'il expose les différences entre plusieurs approches de la sémantique est celui de Löbner (2002)